
52 p – 14 € – éd. de La Lune bleue – Trouées poétiques
Quatrième de couverture :


« Jardin nu« , toile 30×24, 2017 – LaOdina
Tu n'aurais pas eu besoin de te lever le jour l'avait fait pour toi Le jardin presque en congé ce matin de ta joie Mais il fallait ta seule main pour tourner la poignée ouvrir la fenêtre pour t'unir au midi. Alexis Bernaut Lire. Se lever dans la maison silencieuse. Encore peinte de sommeil, ouvrir la fenêtre et regarder le ciel gris. Respirer. Le rituel se met en place. Les oiseaux, comme de minuscules traits de pinceaux, passent dans la grande page vierge du matin. Tantôt par myriades. Tantôt solitaires. Beaucoup s'arrêtent sur les grandes branches du merisier. Chaque matin, il y a le même merle sur la même branche, qui me regarde. Flora Delalande

« Nouvelle ère 3« , acrylique et pastel sur canson A4, 2017 – LaOdina
L'arbre est nu dans la circonférence le pas se fait précis sur le chemin. Tenir le pinceau et tracer au rouge la Voie. L'eau apaise la brûlure d'une trop intense présence. Ainsi s'équilibrent les contraires. Espace du dedans espace du dehors cohabitent désormais. Valérie Canat de Chizy Ombres de Miró, de Matisse, on parle d'amour et de mort d'amor et de sang dans la chair rouge de la toile ; l'épaisseur de son silence. Dehors le monde s'efforce à être ce qu'il est le crépuscule fait ce qu'il peut. Jean-Claude Tardif
C’est la période des anthos, lesquelles ont l’avantage de réunir de nombreux poètes…
Notre « Forêt(s) » aura belle allure aussi bientôt…
Notre « Forêt(s) » arrive à grand pas… elle est à l’orée….